Carnaval 1

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il y a 5 ans

Je suis allé passer la semaine de mes trente ans à Rio de Janeiro, pendant le carnaval, en compagnie d’une amie, Christine, vingt-cinq ans, grande, mince, une poitrine de gamine, un pubis parfaitement lisse, une affamée de sexe qui, travaillant dans le milieu du cinéma, était déjà venue à Rio pendant le carnaval. Jamais de soutien-gorge pour Christine, c’était inutile ; ni bas ni culotte, de vaporeuses robes ne descendant guère au-dessous des fesses, de légères sandales ;

La trousse toilette était l’essentiel de son bagage.

Avant même d’arriver à notre hôtel, sur Copacabana, nous baignions dans la samba qui, nuit et jour, pendant toute la semaine, n’arrêtera jamais. Samba pendant les défilés officiels, bien sûr ; mais samba toujours et partout, que l’on soit dans la rue ou à l’intérieur des maisons ou des hôtels, toujours un air de samba vibre à vos oreilles, vous enveloppe, vous donne envie de danser, envie de s’exhiber, envie de baiser.

À peine arrivés dans la chambre, Christine enlève sa robe, ouvre la fenêtre, s’exhibe nue tandis que grandit la samba, jusqu’ici amortie. Deux minutes plus tard, le téléphone sonne, nu à sa fenêtre de l’immeuble en face, un homme nous propose de venir chez lui où il y a des femmes pour moi. Le beau mâle qui nous accueille a une bite respectable, à demi érigée qu’il branle d’une main en nous ouvrant la porte de l’autre ; dans la chambre voisine, une Brésilienne à la peau à peine claire est couchée sur le dos, cuisses écartées ; pas de préliminaires, j’embroche sa chatte gluante, nos langues se mêlent dans un flot de salive.

À côté de nous, le corps de Christine tressaute sous les coups de bélier, elle râle ; son mâle voulant l’enculer, elle me demande si je peux le faire avec ma femelle ; non, ça elle ne veut pas. « Dans la pièce à côté, une autre femme, voudra bien elle, me dit l’homme, allez-y. »

J’y vais, c’est un réduit sombre, à peine éclairé par une faible lumière rouge ; une forme féminine me prend la bite, la conduit vers sa chatte dégoulinante, nous baisons comme des malades pendant de longues minutes.

L’homme regarde un instant notre mêlée en se branlant, dit deux mots à ma partenaire qui lève les jambes pour m’offrir son cul où ma bite s’enfonce aussi facilement que dans sa chatte. Je lui lime frénétiquement le cul, l’homme est reparti avec Christine. Il revient au bout d’un moment, me met un doigt dans le cul ; je suis tellement enduit du foutre de ma Brésilienne qu’il n’y a pas besoin de beurre, et ça glisse aussi bien quand il m’en introduit deux ou trois autres.

Dans l’état d’excitation où je suis, je pousse du cul, j’ai envie de me faire dilater le fion ; il a compris, sa bite s’enfonce dans mon cul, son ventre bat mes fesses, sans que j’ai déculé de ma partenaire, Christine vient voir le spectacle. Jusque-là j’avais réussi à différer l’éjaculation mais c’est trop fort, je jouis, m’écroule, épuisé. Mon enculeur continue un moment à me défoncer puis approche de ma bouche sa bite gluante que je suce un moment, ça m’a donné envie de me faire lécher le trou du cul, je me pose, fesses écartées à deux mains, au-dessus du visage de l’inconnue qui comprend tout de suite, sa langue s’active loin dans mon anus, c’est bon.

Lumière, la femme que j’ai baisée et enculée est moche ; je ne regrette rien, mais Christine trouve que je devrais être plus sélectif. Nous sortons et revenons à l’hôtel ; dans la rue je dégage une telle odeur de foutre qu’une passante se retourne sur notre passage.

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